From the LDC Chair

It is a pleasure to welcome you to the work of the Least Developed Countries (LDC) Group on climate change. The 46 least developed countries, incredibly vulnerable to environmental and economic shocks, are disproportionately affected by the climate crisis we did little to cause. Made up of countries across Africa, the Asia-Pacific and the Caribbean, the LDC Group has a joint population of over one billion people, yet contributes less than 1% of global CO2 emissions.
Our countries negotiate together as a bloc at UN climate talks to advance our shared interest of a fair and ambitious global response to climate change that leads to swift and deep reductions in global emissions and the delivery of sufficient climate finance so our communities can adapt to climate change and address the inevitable and unavoidable loss and damage it causes.
The science is clear that the decisions made today and the actions that accompany them will determine the state of our futures. With the Paris Agreement and its implementation guidelines decided, it is time for governments to put their pledges into practice and take ambitious actions towards achieving the goals we all committed to: limiting warming to 1.5 °C above pre-industrial levels, building resilience, increasing the ability to adapt to the impacts of climate change, and making finance flows consistent with low carbon, climate-resilient development.
I am honoured to be chairing the LDC Group through this critical period and look forward to working with you all to ensure a safe and prosperous future for everyone.
Madeleine Diouf Sarr, LDC Group Chair
Je suis heureuse de vous accueillir sur le site web du groupe des Pays les Moins Avancés (PMA) sur le changement climatique. Les 46 pays les moins avancés, particulièrement vulnérables aux aléas environnementaux et économiques, sont frappés de manière disproportionnée par la crise climatique que nous n’avons guère contribué à provoquer. Composé de pays d’Afrique, d’Asie-Pacifique et des Caraïbes, le groupe des PMA compte une population totale de plus d’un milliard d’habitants, mais contribue à moins de 1 % aux émissions mondiales de CO2.
Nos pays négocient collectivement dans le cadre des négociations des Nations unies sur le climat afin de promouvoir nos intérêts communs, à savoir une réponse mondiale juste et ambitieuse au changement climatique, qui conduise à des réductions rapides et significatives des émissions mondiales, ainsi qu’à la mise en place d’un financement climatique suffisant pour que nos communautés puissent s’adapter au changement climatique et faire face aux pertes et aux dommages inévitables et inéluctables qu’il provoque.
Les données scientifiques démontrent clairement que les décisions prises aujourd’hui et les actions qui les accompagnent détermineront les conditions de notre avenir. L’Accord de Paris et ses lignes directrices de mise en œuvre ayant été adoptés, il est temps pour les gouvernements de concrétiser leurs engagements et de prendre des mesures ambitieuses pour atteindre les objectifs auxquels nous nous sommes tous engagés : limiter le réchauffement à 1,5 °C par rapport aux niveaux pré-industriels, renforcer la résilience, accroître la capacité d’adaptation aux impacts du changement climatique, et rendre les flux financiers compatibles avec un développement sobre en carbone et résilient au changement climatique.
C’est un honneur pour moi de présider le groupe des PMA en cette période critique, et je me réjouis de travailler avec vous tous pour bâtir des lendemains sûrs et prospères pour tous.